Lando Norris est le nouveau champion du monde de Formule 1, scellant le titre avec une troisième place maîtrisée au Grand Prix d’Abou Dabi — une position qui, de manière appropriée, avait toujours suffi à lui donner la couronne.
La course elle-même appartenait à Max Verstappen, qui a fait tout ce qu’il fallait en remportant le Grand Prix avec force et détermination. Mais le plus grand triomphe se déroulait derrière lui : Norris, calme sous pression, a exécuté la course parfaite pour décrocher son premier championnat du monde, devenant l’homme du moment lors du retour historique de McLaren à la gloire en F1.
Oscar Piastri, quant à lui, a terminé deuxième sur la piste mais a finalement terminé la saison troisième au championnat, McLaren ayant divisé les stratégies entre ses deux prétendants au titre.
Match d’échecs stratégique : McLaren joue des deux côtés — jusqu’à ce que cela compte le plus
Dès le départ, les intentions de McLaren étaient claires :
Deux pilotes, deux stratégies, un objectif — ramener le championnat à Woking.
Mais lorsque le rythme s’est stabilisé dans la phase décisive du milieu de la course, la situation s’est précisée :
McLaren a soutenu Norris pour le titre, lui donnant l’air clair et la position sur la piste dont il avait besoin pour rester à l’écart du danger et maintenir l’avantage au championnat.
Cela a fonctionné à la perfection.
Une saison de hauts, de bas et d’un champion méritant
La saison de Formule 1 2025 a été tout sauf prévisible — un grand huit de domination, d’erreurs, de retours en force et de changements de championnat. À travers tout cela, Lando Norris s’est élevé au-dessus du chaos, livrant une campagne d’une cohérence remarquable, d’une vitesse brute et d’une détermination mentale inébranlable.
Aujourd’hui à Abu Dhabi, ce parcours a atteint son apogée.








