La rivalité en F1 prend une tournure fantaisiste : Albon rêve de la vie de chien gâté de Leclerc !
Dans une révélation stupéfiante qui a secoué la communauté du sport automobile, Alex Albon a exprimé sans détour son envie du chien bien-aimé de Charles Leclerc, Leo. Cette admission légère est survenue lors d’un épisode divertissant du segment adoré de la F1, Grill the Grid, où les échanges entre pilotes révèlent souvent des aperçus inattendus de leur personnalité en dehors de la piste.
Connu pour ses facéties et sa camaraderie avec ses collègues pilotes, Albon a noué une relation étroite avec Leclerc depuis leurs jours dans les séries de course juniors, notamment lors du championnat F2 intense de 2017, que Leclerc a dominé. Avançons jusqu’à la saison actuelle, et les deux pilotes se retrouvent engagés dans une compétition féroce, luttant pour la suprématie contre des géants de la course comme Ferrari et Mercedes.
Cependant, ce sont les derniers commentaires d’Albon sur le compagnon canin de Leclerc qui font la une des journaux. Le charismatique pilote thaï-britannique a qualifié Leclerc de « meilleur papa de chien » dans le paddock de la F1, en faisant référence à l’adorable teckel miniature, Leo, qui est devenu une vue régulière lors des week-ends de course. Le commentaire ludique d’Albon, « Ce chien vit une vie de luxe, de rêves. J’aimerais être son chien ! » résume parfaitement l’humour affectueux qui imprègne le sport.
Cette révélation a suscité une vague de curiosité sur la vie des compagnons poilus de la F1. Bien que Leclerc et Hamilton soient les parents de chiens les plus reconnus dans le paddock, ils ne sont pas les seuls. Pierre Gasly d’Alpine a son propre acolyte duveteux, un chiot nommé Simba, qui vole souvent la vedette. D’un autre côté, le champion en titre Max Verstappen affiche une préférence pour les félins, possédant plusieurs chats chez lui, bien qu’il ait un chiot nommé Nino qui n’a pas encore fait ses débuts sous les projecteurs de la F1.
L’envie joueuse d’Albon met en lumière non seulement les relations légères entre les pilotes, mais aussi les vies extraordinaires que mènent ces animaux de compagnie. Imaginer Leo Leclerc se prélassant dans un luxe de première classe en route vers le Grand Prix de Singa-paw fait sourire, mettant en avant le mélange unique d’humour et d’esprit de compétition qui définit la Formule 1.
Alors que la saison s’intensifie, les fans peuvent s’attendre à d’autres moments délicieux comme celui-ci, prouvant qu’en dessous de la rivalité à grande vitesse se cache une communauté qui sait s’amuser – tant sur la piste qu’en dehors. Avec la confession sincère d’Albon, une chose est claire : dans le monde de la F1, même les chiens vivent le rêve !