La catastrophe de Ferrari sous la pluie : Charles Leclerc s’exprime après le désastre des qualifications du GP de Las Vegas
Dans une démonstration choquante de malchance, Charles Leclerc et l’équipe Ferrari ont dû faire face à une bataille éprouvante lors de la séance de qualifications trempée pour le Grand Prix de Las Vegas. Alors que les pilotes luttaient contre des conditions traîtresses, Leclerc a exprimé sa profonde frustration concernant un problème persistant qui hante la Scuderia depuis son arrivée à Maranello.
Partant d’une décevante neuvième place sur la grille, le coéquipier de Leclerc, Lewis Hamilton, s’est retrouvé encore plus loin, à la 20e position. Lorsqu’on lui a demandé s’il anticipait les défis qui l’attendaient en qualifications, la réponse de Leclerc a été un sombre « Malheureusement, oui. » Il n’a pas retenu ses critiques, déclarant : « Notre voiture a été, malheureusement, depuis que je suis chez Ferrari, que nous avons de grosses difficultés sous la pluie. Nous ne trouvons pas vraiment la solution. »
Le pilote monégasque a articulé avec passion la lutte continue, en soulignant : « Ce n’est pas un défaut que nous n’essayons pas [de résoudre], car nous avons essayé comme des fous, mais ça ne fonctionne tout simplement pas. » Cette quête incessante d’une solution a été accueillie par une déception incessante, Leclerc déplorant : « C’est très, très frustrant, car cela a probablement été ma plus grande force dans les catégories juniors, et nous avons juste des difficultés énormes chaque fois qu’il pleut. Les pneus ne s’activent pas, et nous avons juste une très, très mauvaise adhérence. »
Alors que la pluie tombait à verse, la visibilité chutait et l’adhérence devenait une denrée rare sur le circuit. Leclerc a dresse un tableau sombre de la scène, disant : “Pas bien, pas bien. Surtout quand notre voiture est… C’est très, très difficile à conduire.” Les défis uniques d’un circuit urbain, exacerbés par le froid nocturne et les conditions humides, ont conduit à une séance de qualification pleine de dangers.
En regardant vers l’avenir, la saison 2026 promet une nouvelle vague de réglementations qui pourrait changer le paysage de la Formule 1. Avec seulement deux week-ends de course restants après cet événement, Leclerc a reconnu la bataille difficile que Ferrari doit mener : “Je veux dire, nous luttons pour la troisième ou peut-être la deuxième place, mais honnêtement, la deuxième place va être difficile pour le [championnat] des constructeurs. Ce que je veux, c’est me battre pour des victoires, donc ce n’est certainement pas une voiture qui va me manquer.”
Alors que la poussière retombe sur ce désastre trempé par la pluie, l’avenir de Ferrari reste incertain. Vont-ils conquérir leurs problèmes par temps humide, ou vont-ils continuer à se noyer dans les profondeurs du désespoir ? Une chose est claire : le désir ardent de victoire de Leclerc est inextinguible, et les fans sont impatients de voir si Ferrari peut renaître des cendres de ce désastre en qualification.








