George Russell saute FP1 au GP du Mexique : un mouvement stratégique pour éviter le désastre !
Dans une manœuvre stratégique audacieuse, George Russell a annoncé sa décision de renoncer à la Première Séance d’Essais (FP1) lors du très attendu Grand Prix du Mexique, rejoignant ainsi huit autres pilotes de F1 dans cette tournure inattendue de la préparation du jour de course. La star de Mercedes confie les rênes de sa W16 au jeune pilote prometteur Frederik Vesti, un choix que Russell pense pouvoir le sauver d’une expérience potentiellement désastreuse sur le circuit notoirement difficile de l’Autodromo Hermanos Rodriguez.
Pourquoi un pilote choisirait-il de renoncer à un temps d’essai crucial ? La réponse réside dans les conditions notoirement poussiéreuses et imprévisibles qui caractérisent la première séance au Mexique. Pendant la FP1, la piste est souvent jonchée de débris, créant un défi pour les pilotes et entraînant des temps au tour pouvant être jusqu’à quatre secondes plus lents que ceux observés lors des qualifications. En fait, le meilleur temps enregistré lors de la FP1 de l’année précédente était de 1:17.998 par nul autre que Russell lui-même, tandis que Carlos Sainz a finalement obtenu la pole avec un impressionnant 1:15.946, montrant un écart stupéfiant de deux secondes !
Russell a articulé son raisonnement avec clarté, expliquant aux médias les avantages uniques de s’abstenir de la première séance d’essais. « Il y a définitivement un argument à dire que vous gagnez probablement, pour être honnête », a-t-il déclaré. « Parce que la piste est tellement décalée en temps au tour, elle est assez sale et poussiéreuse. Parfois, quand vous entrez en FP2 avec un esprit ouvert, vous n’avez pas ces mauvaises expériences de la FP1. De tous les circuits, c’est celui où vous perdez de loin le moins. »
Sa perspective perspicace met en lumière une tendance plus large au sein du sport, où les équipes adoptent une approche de plus en plus stratégique lors des séances d’entraînement. En évitant la FP1, Russell et les autres pilotes peuvent éviter les pièges d’une surface de piste compromise, se préparant ainsi à une performance beaucoup plus forte lors des séances suivantes.
Alors que le compte à rebours pour le Grand Prix du Mexique se poursuit, tous les yeux seront rivés sur Russell pour voir si ce risque calculé porte ses fruits. La décision de ne pas participer à la FP1 sera-t-elle un tournant dans sa quête de succès sur la piste ? Avec des enjeux plus élevés que jamais, cela pourrait très bien être un moment charnière du week-end de course. Restez à l’écoute alors que le drame se déroule !












