Charles Leclerc de Ferrari fait face à une pression intense lors du GP de Belgique, demande le silence à son ingénieur
Dans un moment palpitant au Grand Prix de Belgique, Charles Leclerc de Ferrari a demandé le silence radio à son ingénieur de course, Bryan Bozzi, alors que la pression montait pendant la course. Le message succinct de Leclerc, « Laissez-moi tranquille, s’il vous plaît, » a résonné dans la radio de l’équipe après avoir été informé que Max Verstappen se rapprochait à seulement 1,2 seconde derrière lui.
Malgré la concurrence intense, Leclerc a réussi à décrocher une troisième place à Spa-Francorchamps, derrière les pilotes de McLaren, Oscar Piastri et Lando Norris. En réfléchissant à la course, Leclerc a reconnu le défi posé par la présence persistante de Verstappen derrière lui tout au long de l’événement.
Naviguant dans des conditions délicates au début de la course, où Ferrari manquait d’appui aérodynamique par rapport à ses rivaux, Leclerc a souligné les décisions stratégiques prises par McLaren et Verstappen lors des qualifications. Cependant, à mesure que la piste s’asséchait, le rythme de Leclerc s’est amélioré, lui permettant de sécuriser la position sur le podium.
Le jeune pilote a admis à la pression croissante pendant la course, notamment concernant les conditions traîtresses où un léger faux pas pouvait entraîner une erreur désastreuse. Cette tension a culminé dans sa demande de solitude par radio pour se concentrer uniquement sur sa conduite.
En attendant le prochain Grand Prix de Hongrie, Leclerc a exprimé son optimisme quant à l’extraction de plus de performances des récentes améliorations de l’équipe. Désireux de capitaliser sur le résultat positif du récent week-end de course, Leclerc vise à continuer de repousser les limites et à défier la domination de McLaren dans les courses à venir.