Révolution en Course : George Russell Exige des Commissaires Permanents en F1 au Milieu de la Controverse !
Dans une déclaration audacieuse qui pourrait ébranler les fondements même de la Formule 1, George Russell a catégoriquement appelé à l’établissement de commissaires permanents de la FIA en F1. La star de Mercedes insiste sur le fait qu’il est temps que quelqu’un « mette la main à la poche » et investisse dans l’avenir de la gouvernance des courses. Cet appel survient juste après une réunion urgente des pilotes au Qatar, où Russell et ses pairs ont examiné de près les incohérences qui affectent le travail des commissaires en F1.
La discussion a été déclenchée par Carlos Sainz, qui a loué les analyses perspicaces des anciens pilotes de F1 Karun Chandhok, Anthony Davidson et Jolyon Palmer, affirmant que leur compréhension des incidents de course est le standard d’or que les commissaires de F1 devraient s’efforcer d’atteindre. Russell a fait écho à ces sentiments, déclarant : « Je respecte ces trois personnes qu’il a mentionnées d’un point de vue analytique. Et je pense qu’ils saisissent les choses parfaitement. »
Mais pourquoi cette urgence ? Le récent incident impliquant Oscar Piastri, qui a été pénalisé de manière controversée au Brésil, met en évidence le besoin urgent d’une supervision cohérente et éclairée. Sainz, ébranlé par l’incident, a insisté pour des discussions immédiates avec la FIA, soulignant l’application défaillante des règles qui a laissé beaucoup dans l’incompréhension. Russell a souligné l’écart flagrant entre la pression à laquelle font face les commissaires et l’approche calme et analytique des pilotes expérimentés commentant depuis les bordures.
« Les commissaires n’ont pas le luxe du temps », a expliqué Russell. « Ils sont soumis à des directives rigides, ce qui peut entraîner des décisions incohérentes. Nous avons besoin d’une supervision cohérente de la part d’individus ayant de l’expérience en course qui peuvent interpréter les incidents avec précision. » Il a souligné que le système actuel, avec son équipe tournante de commissaires, ne peut tout simplement pas fournir la continuité nécessaire pour une compétition équitable.
La vision de Russell est claire : il plaide pour une équipe dédiée de commissaires qui sont rémunérés de manière appropriée pour leur expertise. « C’est un sport de plusieurs milliards de dollars », a-t-il affirmé. « Nous ne devrions pas avoir des bénévoles exerçant un pouvoir aussi significatif sur nos courses. Il est temps d’investir dans une supervision professionnelle. »
Alors que les pilotes se réunissaient au Qatar, les enjeux n’ont jamais été aussi élevés. Russell a souligné l’importance pour la FIA de comprendre les perspectives des pilotes, en particulier concernant les subtilités de la dynamique de course qui échappent souvent aux directives existantes. Il craint que des ajustements aux règles actuelles ne conduisent aux mêmes problèmes à l’avenir, entraînant des décisions qui manquent de la nuance qui ne vient que de l’expérience.
« Le consensus parmi les pilotes évolue vers une supervision permanente », a révélé Russell, prédisant que les discussions à venir pourraient ouvrir la voie à une refonte radicale du système de supervision. Cependant, il a reconnu les risques potentiels de biais qui pourraient découler d’un panel fixe, notant : « On peut toujours soutenir qu’il pourrait y avoir un biais permanent. »
Cependant, Russell reste optimiste quant à l’introduction de commissaires permanents qui améliorerait la cohérence, permettant aux pilotes de mieux anticiper et comprendre le processus décisionnel. “Une fois que vous apprenez comment ils abordent un incident, vous savez qu’il y aura une certaine cohérence pour le suivant,” a-t-il déclaré, renforçant la nécessité d’un cadre fiable auquel tous les concurrents peuvent faire confiance.
Alors que la poussière retombe après cette réunion cruciale, une chose est claire : l’appel passionné de George Russell au changement a déclenché une tempête de débats au sein de la communauté F1. Avec l’avenir de la gouvernance des courses en jeu, la question demeure : les puissants entendront-ils cet appel à une approche transformative de la gestion des commissaires ? Le monde regarde, et les pilotes sont prêts pour une révolution !









