Titre : Le cauchemar de Ferrari en F1 : Charles Leclerc révèle les luttes écrasantes de la SF-25
Dans une révélation frappante, Charles Leclerc a mis à jour la réalité choquante de la conduite de la Ferrari SF-25, une voiture si difficile qu’il admet qu’elle l’oblige à flirter avec le désastre juste pour garder le rythme en Formule 1. Après avoir qualifié cinquième au palpitant Grand Prix d’Abou Dabi, Leclerc a déclaré : « C’est soit dans le mur, soit à travers Q1. » Cette admission franche souligne la pression immense et le danger qu’il affronte tout en pilotant un véhicule qui devrait rivaliser pour des podiums, et non se battre pour sa survie.
La performance de Leclerc sur le circuit de Yas Marina a montré à quel point Ferrari a chuté cette saison, le pilote monégasque enregistrant cinq dixièmes de seconde de retard sur l’inarrêtable Max Verstappen, qui a sécurisé la pole position. Pendant ce temps, la saison de son coéquipier Lewis Hamilton a continué de sombrer alors qu’il a terminé à une désastreuse 16ème place, marquant sa quatrième sortie consécutive en Q1 — y compris les sprints. Les malheurs de Hamilton ont été aggravés par un crash lors de la troisième séance d’essais libres au redoutable virage 9, qui est devenu emblématique d’une saison cauchemardesque pour la Scuderia.
Malgré des espoirs initiaux de compétition pour le titre de champion après avoir terminé deuxième l’année dernière, Ferrari est sur le point de terminer la saison 2025 à une décevante quatrième place, sans aucune victoire en Grand Prix à montrer pour leurs efforts. Alors que l’équipe se prépare pour la dernière course, la dure réalité de leur performance est difficile à ignorer.
Lorsqu’on lui a posé des questions sur les difficultés de Hamilton et les problèmes inhérents à la SF-25, Leclerc a exprimé candidement : « Je peux voir à quel point la voiture est délicate – il faut juste s’engager à fond. » Il a détaillé l’expérience de conduite périlleuse, soulignant que la seule façon d’obtenir des informations sur les performances de la voiture est de la pousser à ses limites absolues, une stratégie qui peut facilement conduire à des erreurs catastrophiques.
« En Q2, je pensais que j’allais la mettre dans le mur plusieurs fois, » a-t-il avoué, illuminant la nature précaire de sa séance de qualification. Cette quête incessante de vitesse laisse peu de place à l’amélioration, contrastant fortement avec les voitures plus stables de McLaren ou de Red Bull qui permettent à leurs pilotes d’explorer leurs limites sans la menace constante de la destruction.
Le parcours de Leclerc avec Ferrari a connu son lot de triomphes depuis ses débuts en 2019, y compris une victoire spectaculaire au Grand Prix de Monaco et deux victoires à Monza. Pourtant, la saison 2025 a été un chapitre sombre pour le pilote de 28 ans, qui se retrouve à saisir des miettes, célébrant une cinquième place comme une petite victoire dans une mer de déceptions. « C’était très délicat mais surtout ce deuxième tour en Q2 était très, très difficile à gérer, » a réfléchi Leclerc, reconnaissant la nature douce-amère de sa performance.
Il a ajouté : « Ça fait mal d’être satisfait d’une P5, mais pour le moment, c’est la situation dans laquelle nous nous trouvons. » Cette déclaration poignante résume la frustration et la désillusion qui ont frappé Ferrari tout au long de la saison. Alors que Leclerc continue de lutter avec la redoutable SF-25, les fans et les analystes se demandent : Ferrari peut-elle retrouver sa gloire d’antan, ou est-ce la nouvelle normalité pour l’équipe légendaire ?









