Une révélation choquante secoue le monde de la F1 alors que le pilote australien Jack Doohan est trahi par le système DRS lors d’un accident terrifiant à Suzuka. L’incident à grande vitesse durant la FP2 a vu l’Alpine A525 de Doohan complètement détruite, soulevant des inquiétudes pour ses perspectives de week-end. Bien qu’il ait été déclaré apte par le personnel médical, les conséquences de l’accident révèlent un problème critique avec le système de réduction de traînée (DRS).
Le moment décisif menant à l’accident de Doohan à une vitesse étonnante de 331 km/h a été attribué à une erreur manuelle potentielle avec le mécanisme DRS. Contrairement à d’autres circuits, Suzuka présente un défi unique où les pilotes peuvent atteindre le premier virage sans freiner ni lever le pied de l’accélérateur, ce qui fait que l’aileron arrière reste ouvert à moins d’être fermé manuellement par le pilote.
L’incapacité de Doohan à fermer le DRS avant d’entrer dans le virage a entraîné une perte d’adhérence et de contrôle, conduisant finalement à l’accident dévastateur. Des spéculations émergent sur la question de savoir s’il s’agissait d’un dysfonctionnement technique ou d’une erreur humaine de la part de Doohan qui a laissé le DRS ouvert, déclenchant une chaîne d’événements aboutissant à l’impact dramatique avec les barrières.
L’intense examen qui suit l’incident met en lumière les détails complexes de la technologie de la F1 et les décisions prises en une fraction de seconde qui peuvent faire ou défaire une course. Alors que l’enquête se poursuit sur la cause précise de la défaillance du DRS, les répercussions de cette révélation pourraient avoir des implications considérables pour les protocoles de sécurité et les procédures opérationnelles au sein du sport.