Dans la NASCAR, un surnom n’est pas seulement une étiquette—c’est un insigne d’honneur. De l’agression intrépide de « The Intimidator » Dale Earnhardt à la personnalité flamboyante de « Smoke » Tony Stewart, le sport a longtemps été défini par ses personnages plus grands que nature. Mais en ce qui concerne William Byron, son dernier surnom laisse les fans perplexes.
Alors que le Daytona 500 de 2025 approche, une conversation légère mais bizarre a émergé au sein de Hendrick Motorsports (HMS). Le coéquipier Alex Bowman—mieux connu sous le nom de “Bowman the Showman”—a apparemment essayé d’offrir à Byron un moniker qui, eh bien, ne crie pas vraiment intimidation : “Slick Bill Byron.”
Mais que signifie exactement cela ? Même Bowman lui-même n’a aucune idée.
Bowman Confesse : “Je N’ai Aucune Idée D’où Cela Vient”
Le journaliste de NASCAR Steve Taranto a récemment confronté Bowman au sujet des origines du surnom de Byron, et sa réponse était aussi franche que comique.
“Je n’ai aucune idée [du surnom Slick Bill Byron]. Ça sonnait juste cool,” a admis Bowman, ne pouvant contenir un sourire.
Mais aussi rapidement que le surnom “Slick Bill” a commencé à circuler, Bowman a lâché un nouveau qui pourrait réellement coller—un qui non seulement convient au comportement de Byron mais ajoute un peu de flair :
“C’est un assassin au visage de bébé.”
Et soudain, tout a pris sens.
Pourquoi “Baby Face Assassin” Pourrait Être le Surnom Parfait
À 27 ans, Byron est le plus jeune parmi les quatre pilotes de la Cup Series de Hendrick. Comparé à ses coéquipiers plus expérimentés—Kyle Larson (32), Bowman (31), et Chase Elliott (29)—il conserve encore une apparence jeune, presque modeste. Mais sous ce look juvénile se cache un compétiteur implacable qui est rapidement devenu l’un des principaux prétendants de la Cup Series.
Bowman, qui voit Byron comme un “petit frère”, a loué son évolution en tant que pilote et son succès croissant. Malgré la montée rapide de Byron dans le sport, Bowman a noté avec humour qu’aucun surnom ne le transformerait soudainement en un guerrier aguerri et endurci.
“William est un sacré pilote de course, et je ne veux pas que cela sonne condescendant. Je ne pense pas que vous allez trouver un surnom qui le rendra rugueux et dur,” a admis Bowman.
Et c’est là que le vrai débat a commencé—Byron a-t-il besoin d’une image plus dure ? Ou, mieux encore, d’une moustache ?
William Byron a-t-il besoin d’une Moustache pour “Durcir” son Image ?
Bowman et son équipe ne se sont pas contentés de distribuer de nouveaux surnoms ; ils ont également plaisanté sur le fait que Byron devrait faire pousser une moustache pour compléter son personnage de « Baby Face Assassin ». Après tout, rien ne dit « homme dur » en NASCAR comme un peu de poil facial intimidant.
La moustache de Dale Earnhardt était légendaire. Tony Stewart avait le look robuste. Kevin Harvick maîtrisait le style du vétéran. Mais Byron ? Il reste le pilote bien rasé et soigné qui laisse sa performance parler pour lui.
Le débat ludique amène maintenant les fans à se demander : un nouveau look confirmera-t-il le statut de Byron en tant que l’une des superstars émergentes du sport, ou son charme de “Baby Face Assassin” fait-il partie de sa magie ?
Les surnoms font des légendes—Lequel va-t-il rester ?
Bien que “Slick Bill Byron” n’ait peut-être pas pris, “Baby Face Assassin” a une certaine résonance. Cela capture sa confiance discrète et trompeuse—le pilote modeste et tranquille qui se transforme en un concurrent implacable sur la piste.
Alors que Byron se prépare pour le Daytona 500 de 2025, une chose est claire : Qu’il soit “Slick Bill”, “Baby Face Assassin” ou tout simplement William Byron, il est là pour gagner. Et s’il finit par arborer une moustache en cours de route ? Eh bien, c’est juste un bonus.