L’ancien manager d’une légende de la F1 sous le choc après une invasion violente à domicile : un crime choquant se déroule
Dans un épisode terrifiant qui a envoyé des ondes de choc à travers la communauté du sport automobile, Willi Weber, l’ancien manager de l’icône de la Formule 1 Michael Schumacher, a révélé qu’il était « en état de choc complet » après avoir subi un vol violent dans sa villa luxueuse à Stuttgart, en Allemagne. Cet incident éprouvant met en lumière la vulnérabilité des figures de proue et soulève également des questions alarmantes sur la sécurité dans leurs propres maisons.
Weber, qui a été une figure clé dans la carrière illustre de Schumacher—guidant le septuple champion du monde vers des sommets sans précédent—était apparemment en train de dîner avec sa femme et une femme de ménage lorsque leur vie a pris un tournant cauchemardesque. Selon des rapports des médias allemands, Weber a été attaqué par une bande impitoyable de trois assaillants masqués qui ont envahi sa propriété, déterminés à voler des objets de valeur d’une fortune.
La situation a horriblement dégénéré lorsque les intrus ont ligoté Weber, sa femme et la femme de ménage à des chaises, brandissant des armes, y compris une arme à feu, et soumettant Weber à des agressions physiques brutales. Il a été frappé sans pitié au visage, ce qui lui a causé un œil au beurre noir, plusieurs contusions et une coupure au nez—tout en étant contraint de révéler le code du coffre-fort. Les assaillants se sont enfuis avec un butin de biens volés, y compris un Patek Philippe Nautilus Chronograph 5980 d’une valeur de plus de 100 000 €, une Rolex Day-Date II Platinum d’une valeur de 50 000 €, et un Audemars Piguet Royal Oak Offshore d’une valeur de 25 000 €. Ces trésors n’étaient pas seulement des objets de luxe ; ce étaient des possessions chères, Weber ayant précédemment exprimé le souhait d’être enterré avec eux—“un cercueil avec des tiroirs” pour garder ses montres en souvenir.
Dans la foulée du vol, Weber a réussi à se libérer après plus de deux heures d’angoisse et a immédiatement alerté la police. Bien qu’il ait reçu des soins pour ses blessures, il n’a heureusement pas eu besoin d’hospitalisation. Sa femme et sa gouvernante, bien que bouleversées, n’ont subi que des contusions mineures dues à leurs entraves.
Décrivant l’angoissante épreuve, Weber a raconté : « Ils étaient trois. Je dînais. Ils voulaient le code du coffre-fort. J’ai refusé de le leur donner, et ensuite ils ont continué à me frapper au visage. » Visiblement encore sous le choc de l’expérience, il a déploré : « Je me sens terrible. Je suis en état de choc complet. »
La peur et le traumatisme de l’événement ont été aggravés lorsque la fille de Weber s’est précipitée sur les lieux, offrant son soutien durant cette période tumultueuse. « Elle m’aide », a-t-il partagé, soulignant la solidarité de sa famille à la suite d’un crime aussi horrible.
Weber a exprimé sa conviction que les voleurs avaient minutieusement planifié l’attaque, déclarant : « Ils savaient ce qu’ils faisaient. Tout est parti ! Même mes montres. J’ai dû être espionné pendant des semaines. » Confronté à la spéculation selon laquelle son annonce récente de vendre sa maison aurait pu faire de lui une cible, Weber a rejeté avec véhémence cette idée. « Non ! Il doit sûrement être possible de vendre une maison dans ce pays sans être volé. Quel genre de pays vivons-nous si l’on n’est plus en sécurité chez soi ? » a-t-il questionné, soulignant la sombre réalité à laquelle beaucoup sont confrontés aujourd’hui.
Alors que la police poursuit son enquête, analysant les images vidéo à la recherche d’indices sur les identités et les itinéraires d’évasion des coupables, l’incident rappelle de manière frappante que même ceux qui ont atteint la grandeur aux yeux du public ne sont pas à l’abri des horreurs du crime. Avec Weber désormais sous la protection de gardes du corps, on ne peut qu’espérer que justice sera faite et qu’une telle atteinte à la sécurité personnelle ne deviendra pas une nouvelle norme dans la société.









