George Russell Domine le Grand Prix de Singapour au milieu de l’effondrement de McLaren : un affrontement pour les âges !
Dans une démonstration spectaculaire de compétence et de stratégie, George Russell a triomphé au Grand Prix de Singapour, transformant aisément sa position de pole en une victoire écrasante sur le circuit emblématique de Marina Bay. Cependant, la course était loin d’être une affaire simple, car un incident controversé impliquant les pilotes de McLaren a terni la gloire de l’équipe qui venait de remporter son deuxième championnat des constructeurs consécutif.
Alors que Russell célébrait son triomphe, l’atmosphère était ternie par la tension entre les coéquipiers Lando Norris et Oscar Piastri. Dans un retournement de situation choquant, Norris a percuté Piastri dès le premier tour, forçant l’Australien à sortir large au virage 3 et le faisant tomber à la quatrième place. Alors que Norris passait de la cinquième à la troisième position, la friction entre les deux laissait Piastri bouillonnant de frustration – un sentiment qui résonnait à travers le paddock.
Malgré les manœuvres agressives de Norris, qui incluaient une légère collision avec l’arrière du concurrent au championnat Max Verstappen, il a réussi à conserver la troisième place jusqu’à la fin de la course. Pendant ce temps, Verstappen a rencontré ses propres difficultés avec sa RB21, luttant contre des problèmes mécaniques tout en parvenant à sécuriser la deuxième place grâce à une masterclass en conduite défensive.
L’ouverture de la course était tout sauf ordinaire, avec des nuages de pluie menaçants créant le chaos sur la grille. Les deuxième et troisième secteurs étaient trempés, tandis que le premier secteur restait sec, entraînant une décision palpitante pour les pilotes concernant le choix de leurs pneus. Malgré les conditions délicates, tous les pilotes, sauf Verstappen qui avait opté pour des pneus tendres, ont choisi des slicks, préparant le terrain pour un affrontement captivant.
Russell, avec des pneus médiums frais, a effectué un départ fulgurant, laissant Verstappen derrière lui. Derrière eux, Norris a exécuté une manœuvre audacieuse pour dépasser Piastri, mais le contact a failli envoyer l’Australien percuter le mur. Les conséquences de cette collision ont laissé Piastri furieux, et il a été encore plus en colère face à la décision de McLaren de ne prendre aucune mesure contre Norris.
Au fur et à mesure que la course se déroulait, Russell a établi un écart redoutable de 3,6 secondes au huitième tour, devançant Verstappen, qui avait des difficultés avec les rétrogradages et voyait son écart avec Russell se creuser à près de six secondes. Norris, bien qu’étant proche, n’a pas pu tirer parti des problèmes de Verstappen.
Avec les arrêts aux stands qui approchaient, la tension s’est intensifiée. La stratégie de McLaren a été mise à l’épreuve alors que Norris et Piastri naviguaient à travers les complexités de la gestion des pneus, en particulier après que Norris ait frôlé le mur, obligeant l’équipe à réagir rapidement. Piastri, après un arrêt aux stands lent, s’est retrouvé à dix secondes de son coéquipier, un écart critique qui allait définir l’issue de la course.
Dans les derniers tours, Verstappen a trouvé son rythme, réduisant l’écart avec Russell, pour finalement connaître un blocage catastrophique qui a fait s’envoler ses espoirs de rattraper le pilote Mercedes. À mesure que les tours défilaient, Norris a réussi à réduire l’écart avec Verstappen mais est resté incapable d’exécuter des manœuvres de dépassement malgré sa position dans la zone DRS.
Finalement, Russell a franchi la ligne d’arrivée avec un confortable écart de cinq secondes, consolidant son statut de concurrent redoutable. Verstappen a tenu bon pour la deuxième place, tandis qu’un Piastri furieux a terminé quatrième, incapable de réduire l’écart avec son coéquipier.
Alors que la poussière retombait sur une course remplie d’action, de drame et de controverse, le top dix s’est terminé avec Kimi Antonelli, Charles Leclerc, Lewis Hamilton, Fernando Alonso, Oliver Bearman et Carlos Sainz complétant les finisseurs. Sans retraits à signaler, le Grand Prix de Singapour sera mémorable non seulement pour la victoire de Russell mais aussi pour les conflits internes qui menacent d’éclipser les célébrations du championnat de McLaren.
Cette course a préparé le terrain pour une finale électrisante de la saison, avec des rivalités qui s’intensifient et chaque point étant crucial dans la quête de gloire. Le drame continue, et les fans restent impatients pour le prochain chapitre de cette saga captivante !