CHOC F1 : Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, appelle à un arrêt des courses sprint !
Dans un geste audacieux et inattendu, le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, a lancé un défi à la vision ambitieuse de Liberty Media pour la Formule 1. Avec des propositions affluant pour plus de courses sprint, des Grands Prix plus courts et même des grilles inversées, le paysage de la F1 est examiné comme jamais auparavant. Stefano Domenicali, le PDG de la F1, est en mission pour attirer un public plus jeune, mais Ben Sulayem ne se laisse pas emporter par l’engouement sans se battre !
Tout en reconnaissant l’intention de Domenicali de revitaliser le sport pour un public plus jeune, Ben Sulayem a tiré la sonnette d’alarme sur la pression potentielle que ces courses supplémentaires pourraient imposer aux équipes et à leur personnel. “Commercialement, je comprends sa position,” a déclaré Ben Sulayem dans une interview exclusive avec Viaplay. “Stefano est un bon ami, et nous parlons cinq fois par semaine, donc je comprends ce qu’il essaie d’accomplir. Mais nous devons considérer le fardeau supplémentaire sur notre personnel. Ils voyagent déjà énormément, et ajouter plus de courses pourrait être épuisant !”
Le président de la FIA est catégorique sur la nécessité de trouver le bon équilibre entre les intérêts commerciaux et l’intégrité du sport. “Ce n’est pas seulement une question commerciale ; l’aspect sportif doit également être pris en compte. Trouver un équilibre entre ces deux aspects est crucial pour une base solide. Se concentrer uniquement sur l’aspect sportif, et vous rencontrez des problèmes financiers – et vice versa,” a-t-il averti.
Mais ce n’est pas tout ! Ben Sulayem plaide également pour la préservation des racines européennes de la F1 tout en visant de nouvelles frontières en Afrique. “Je crois que l’Afrique mérite une course, mais le défi réside dans le fait de la rendre financièrement viable,” a-t-il noté. “Nous ne pouvons pas oublier l’Europe ; c’est là que le sport est né, et toutes les grandes innovations s’y produisent. L’Europe est accessible, et nous devons veiller à maintenir nos connexions.”
Dans un tournant supplémentaire, Ben Sulayem soutient que l’expansion du nombre d’équipes en F1 est de loin plus bénéfique que de simplement augmenter le nombre de courses. Il a fièrement défendu la décision de la FIA d’accueillir Cadillac sur la grille en 2026, affirmant : “J’ai travaillé pendant deux ans pour que cela se réalise. Au départ, j’avais l’impression de commettre un crime, mais maintenant je peux en sourire. Je crois fermement que le fait d’avoir plus d’équipes est plus crucial que d’avoir plus de courses. Un plus grand nombre d’équipes crée une base plus stable pour le sport.”
Alors que le monde de la Formule 1 retient son souffle, une question se pose : la vision de Mohammed Ben Sulayem pour une F1 équilibrée et axée sur les équipes prévaudra-t-elle face à la poussée incessante pour l’expansion commerciale ? L’avenir du sport est en jeu, et les fans sont impatients de voir comment cette saga palpitante se déroulera !