Le président de la Formule 1 admet que l’avenir d’Imola est en danger !
Le sort de la course historique d’Imola est en balance alors que le président de la Formule 1, Stefano Domenicali, reconnaît les défis d’avoir deux courses en Italie. Avec une volonté de diversifier les lieux de course et d’attirer un public mondial, Imola pourrait risquer d’être retirée du calendrier F1.
Malgré ses débuts en 1981, l’Autodromo Internazionale Enzo e Dino Ferrari a fait face à des incertitudes quant à sa présence dans le calendrier F1, réapparaissant en 2020 sous le nom de Grand Prix d’Émilie-Romagne. Cependant, avec la concurrence croissante d’autres lieux cherchant à accueillir des courses, l’avenir d’Imola semble incertain.
Le président Domenicali a laissé entendre que l’Italie pourrait ne pas être en mesure de soutenir deux courses, soulignant l’intérêt croissant pour la F1 à l’échelle mondiale. La sentimentalité entourant Imola, même avec la connexion personnelle de Domenicali à la région, pourrait ne pas suffire à garantir sa place, surtout avec l’importance historique de Monza, qui a un contrat jusqu’en 2031.
Les remarques de Domenicali sur l’équilibre entre les avantages économiques et la croissance du marché dans le choix des lieux de course signalent un potentiel changement dans le calendrier F1. Le sport envisage des Grands Prix européens rotatifs et explore de nouvelles options pour élargir sa portée et ses opportunités commerciales.
Alors que le paysage de la Formule 1 évolue, Imola fait face à un moment crucial dans son existence sur le circuit de course. Avec l’accent mis par le sport sur l’innovation et la croissance, des courses traditionnelles comme Imola pourraient devoir céder la place à de nouvelles destinations passionnantes pour maintenir l’engagement de la base de fans de la F1 et rendre la compétition féroce.